Bud Spencer a écrit : ↑lun. 19 mars 2018 14:37
BD343, ca peu pas le faire comme ca, ce sont de pnp.
Si tu veux une valeur sur, tu peux utiliser des tip120 avec une résistance de base de 1K. Ca laisse de la marge pour de gros relais et c'est moins encombrant que des TO3
Suite à fausse manip de ma part en jonglant avec les onglets, je viens de perdre une réponse documentée assez longue.
Je vais faire concis même si c'est un peu brutal.
Pour être fiable il faut respecter au moins 2 critères:
Simplicité
Respect des domaines de fonctionnement des composants (les spé donnent des valeurs max), donc ne pas faire travailler longtemps les composants à leur maximum. Ça les stresse et ils se vengeront en se suicidant et en faisant le maximum de dégâts.
Simplicité:
Pourquoi le SPI avec son câblage plus complexe MOSI, MISO, CLK et CS. Pour commander des relais électro-mécaniques, il n'y a aucun critère de rapidité.
Pourquoi utiliser le MCP23B17 uniquement en sortie ? Chaque port peut être utilisé en sortie OU en entrée et le circuit est organisé en 2 sous-groupes de 8 ports (mais qui restent indépendants) ce qui explique les 2 signaux d'interruption INT A et INT B. Utiliser des GPIOs du Raspberry en entrée va aussi poser des problèmes matériels de protection (on revient au point de départ) auxquels s'ajouteront des problèmes logiciels pour traiter les rebonds des relais
Consommation:
Pourquoi empiler uln, opto-coupleur et enfin transistor bipolaire de puissance ? En fait, un unique transistor MOSFET canal N (à faible tension de grille) pourrait remplacer tout ce beau monde. il se commande en tension et ne consomme presque rien sur sa grille (surtout à 'aussi faible fréquence de commutation). Il présente une tension de déchet très faible et donc, ne chauffe pratiquement pas.
Si tu veux garder les LED pour le dépannage et non pour décorer un sapin de Noël, tu peux limiter le courant (tester avec 1 mA) et mettre un bouton poussoir ou un jumper, en série avec le commun (comme déjà proposé par Bud)
Sylvain