framboise314.fr

Bonsoir,

Exact, peu importe leur type.

Bonne soirée,

Plop,

Ne pas confondre les disques et les partitions.

Chaque disque est représenté par un fichier - comme tout sous UNIX. Ce fichier est nommé par le préfixe de son type, suivi d'une lettre. Pour les disques SCSI (ou du moins gérés comme tels par le module des disques durs actuels), le préfixe est sd pour SCSI disk. Le premier disque est donc représenté par le fichier /dev/sda parce que a est la première lettre

Mais un disque ne peut pas contenir de système de fichiers. Il doit être découpé en une à quatre partitions (modèle de partitionnement PC). Ces partitions sont appelées primaires depuis qu'on a inventé les partitions virtuelles qui elles sont contenues dans l'une de ces partitions primaires

Ces partitions, elles, qu'elles soient primaires ou virtuelles, peuvent contenir un système de fichiers (c'est d'ailleurs leur seule raison d'être), que l'on peut monter. Comme tout sous UNIX (ça je l'ai déjà dit), chaque partoche est représenté par un fichier. Ce fichier est nommé comme le disque auquel appartient la partition, suivi d'un numéro.
La deuxième partition du troisième disque sata est donc : /dev/sdc2

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Or donc, fdisk s'occupe des disques. Soit on lui passe un disque (i.e. /dev/sda) et non pas une partition, soit on lui demande quelle en est la liste. D'où l'option "-l" (avec un L comme Liste).
Mais un disque sans partition n'a aucun que très peu d' intérêt (*). C'est pourquoi la liste des disques est accompagnée de la liste des partitions pour chacun de ces disques, quelque soit leur statut : monté ou pas.

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(*) voir message de maxty

Par ailleurs, pour connaître la liste des partitions montées, on peut utiliser la commande mount. Mais celle-ci montre tous les systèmes de fichiers, qu'ils soient physiques (partitions de disques durs, lecteurs optiques, clefs USB) ou virtuels (tmpfs, procfs, sysfs, devfs, etc.)

zeb a écrit :Mais un disque ne peut pas contenir de système de fichiers. Il doit être découpé en une à quatre partitions (modèle de partitionnement PC). Ces partitions sont appelées primaires depuis qu'on a inventé les partitions virtuelles qui elles sont contenues dans l'une de ces partitions primaires

FAUX (comme dirais un certain Norman ...)

Non, il n'est pas "obligatoire" comme sous d'autre OS de partitionner, c'est une "Best Pratice" j'en conviens.

Tu peux formater directement un disque sans le partitionner, c'est souvent utilisé lors de création de LVM, principalement sur des machines virtuelles.
Cette technique permets d'agrandir le disque virtuel de façon propre, sans redémarrer la VM et sans ajouter une multitude de petits disques virtuels.

Autre exemple, tu peux utiliser un disque dur comme une "Tape", avec tar par exemple.

zeb a écrit :Or donc, fdisk s'occupe des disques. Soit on lui passe un disque (i.e. /dev/sda) et non pas une partition, soit on lui demande quelle en est la liste. D'où l'option "-l" (avec un L comme Liste).
Mais un disque sans partition n'a aucun intérêt. C'est pourquoi la liste des disques est accompagnée de la liste des partitions pour chacun de ces disques, quelque soit leur statut : monté ou pas.

Un disque sans partition, peut avoir son intérêt, dans des cas particulier, voir plus haut.

Petite précision, quand j'ai dis :

maxty01 a écrit :Bonsoir,

Exact, peu importe leur type.

Bonne soirée,

Je parlais des types de disques (clé usb, sata, scsi, ...).

zeb a écrit :Pour connaître la liste des partitions montées, on peut utiliser la commande mount. Mais celle-ci montre tous les systèmes de fichiers, qu'ils soient physiques (partitions de disques durs, lecteurs optiques, clefs USB) ou virtuels (tmpfs, procfs, sysfs, devfs, etc.)

Alors, si je peux me permettre, sans aucune hostilité, dans le sujet actuel, on nous demande de trouver un disque ... qui n'est pas monté ...
De plus, j'ai déjà demandé le résultat de la commande mount.

@Odon :
j'attends toujours le résultat de la dernière commande : sudo fdisk -l

Sur ce bonne soirée,

Salut Maxty01,

Comment ça "sans aucune hostilité" ?
Bien sûr que je lis tous les messages sans croire qu'il y aurait la moindre méchanceté !
J'espère qu'il ne faut pas commencer nos messages par une tonne de précautions pour éviter de vexer quiconque...

Pour le FAUX, tu as bien raison.

(Heureusement que j'avais précisé "modèle de partitionnement PC", ce qui me permet de me rattraper aux branches basses et prétendre que je suis d'accord avec toi. Car ce que tu décris n'entre pas dans ce modèle très particulier.
Pour enfoncer le clou, voici un autre exemple encore plus "Linux". On peut copier le noyau directement sur le disque dur, à partir du secteur 0, et ne plus avoir ni de partition ni même de bootloader : exit grub, lilo, etc ! )

Pour le "aucun intérêt", j'édite

zeb a écrit :Salut Maxty01,

Bonsoir zeb,

zeb a écrit :Comment ça "sans aucune hostilité" ?
Bien sûr que je lis tous les messages sans croire qu'il y aurait la moindre méchanceté !
J'espère qu'il ne faut pas commencer nos messages par une tonne de précautions pour éviter de vexer quiconque...

Je ne connais pas la sensibilité de chacun, et puis celle-ci peux varier selon la journée.

zeb a écrit :Pour enfoncer le clou, voici un autre exemple encore plus "Linux". On peut copier le noyau directement sur le disque dur, à partir du secteur 0, et ne plus avoir ni de partition ni même de bootloader : exit grub, lilo, etc ! )

Rooh Pµt@!n, si t'as un tuto ou un truc du genre ... j'suis preneur à 200% !!!!


Bonne Soirée,

T'as beau être de Charleroi, je préfère quand tu fais ton liégeois et que tu t'écris "Oufti !", plutôt que cet horrible "Rooh Pµt@!n"
....

Je ne sais pas si c'est l’endroit, mais voici un bref aperçu du sujet.

Mes sources sont variées :

* l'étude comparée de LILO et de GRUB que j'avais faite il y a maintenant un moment. Étant adepte de Slackware la vénérable qui utilise encore et toujours le très respectable LILO, j'avais voulu savoir pourquoi d'autres se tournaient vers GRUB. Le fonctionnement du partitionnement PC, avec son MBR, sa partoche active (bootable), le fait de mettre un loader dans le secteur d'amorçage du disque ou d'une partition, le chaînage de boot (dualboot Linux+Win95), etc.

* un document que j'avais dévoré pendant ma période LFS : from power up to bash prompt http://tldp.org/HOWTO/From-PowerUp-To-B ... HOWTO.html

* la page man de la commande rdev.

* et last but not least, mes réminiscences du temps où Linux tenait sur 2 disquettes 3"5 et qu'il fallait utiliser diskimage sous DOS pour écrire sur le premier secteur de la première disquette. (si vous entendez parler de Win32DiskImager aujourd'hui, c'est la même chose, 20 ans après !)

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Or donc voici le secret : le BIOS démarre sur le premier secteur du premier disque. (même les BIOS les moins évolués permettent de choisir le premier disque). Au premier secteur, il y a un MBR, c'est lui qui est exécuté. Si ce MBR contient LILO ou le premier stage de GRUB, c'est le bootloader qui prend la main, pour chercher, paramétrer et lancer le noyau. Autre bootloaders possibles, NTLDR de Windows, ou pour les moins jeunes, IO.SYS ! Si au lieu d'un bootloader, il y a un noyau Linux, c'est lui qui est lancé.

Autre possibilité, un MBR de disque vierge, mais l'une des partitions est flaguée comme bootable.
Cette partoche contient alors au secteur 0, un MBR vierge, un bootloader ou pourquoi pas un noyau Linux...

Il faudra un système de fichiers root avec quelques programmes indispensables : init, sh... ou busybox (voire un initrd).
Ce système pourra se trouver sur un autre disque, mais sur sa partition.

Le noyau, lui, n'a pas besoin d'être sur un système de fichiers, sauf s'il faut qu'un bootloader l'y trouve.
Débarrassons-nous de l'idée du bootloader.
Il faut alors mettre le noyau sur le secteur 0 du disque qui pourra donc ne pas être partitionné.
Mais dans ce cas, on ne pourra pas mettre autre chose sur ce disque.
Autre solution, partitionnons-le disque :
- une partition d'au moins la taille du noyau, non formatée, et donc sans FS. Au secteur 0, on y copiera le noyau. Cette partoche devra être flaguée comme bootable.
- une partoche pour le swap (ou pas) et donc sans FS.
- une partition root avec un FS.

Pour copier un noyau au secteur 0 d'une partition, c'est facile, trop même ! Évidement, plus question de passer des paramètres au noyau en changeant une ligne dans le paramétrage de LILO ou de GRUB.
Qu'à cela ne tienne, on aura compilé le nécessaire dans le noyau.
Sinon, la commande rdev est là pour mettre directement dans ce noyau le strict minimum (root, ram, mode vidéo).

Bonsoir ZEP,

Et oui, je suis de TCharlerwé. Personne n'est pas parfais ...
J'avoue que l'idée me branche pas mal ...
Je vais essayé dans une VM pour comprendre le fonctionnement de ce que tu annonces.

J'ai aussi l'impression que Odon n'a plus envie de répondre, je propose qu'on le laisse répondre à son propre sujet.

Bonne soirée,

désolé de ne pas avoir répondu plus tôt, mais j'ai malheureusement pas eu le temps de me pencher sur le raspberry ces dernier temps.
Voilà donc la réponse à la commande sudo fdisk-l
pi@raspberrypi ~ $ sudo fdisk -l

Disk /dev/mmcblk0: 7948 MB, 7948206080 bytes
4 heads, 32 sectors/track, 121280 cylinders, total 15523840 sectors
Units = sectors of 1 * 512 = 512 bytes
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disk identifier: 0x1660e00a

Device Boot Start End Blocks Id System
/dev/mmcblk0p1 8192 1673828 832818+ c W95 FAT32 (LBA)
/dev/mmcblk0p2 1679360 15333375 6827008 5 Extended
/dev/mmcblk0p3 15333376 15398911 32768 83 Linux
/dev/mmcblk0p5 1687552 1810431 61440 c W95 FAT32 (LBA)
/dev/mmcblk0p6 1818624 15333375 6757376 83 Linux

Disk /dev/sda: 31.0 GB, 31009800192 bytes
86 heads, 22 sectors/track, 32011 cylinders, total 60566016 sectors
Units = sectors of 1 * 512 = 512 bytes
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disk identifier: 0xf7ec8a27

Device Boot Start End Blocks Id System
/dev/sda1 8064 60566015 30278976 7 HPFS/NTFS/exFAT
pi@raspberrypi ~ $


merci des réponses ! car je ne sais toujours pas comment accéder à une cle usb avec le raspberry

Bonsoir Odon,

Voici les preuve que ta clé USB est détectée :

Tout d'abord, la commande dmesg : Ensuite, la commande lsusb : Pour finir, la commande fdisk : Tout cela pour te signaler qu'au final, ta clé USB est bien détectée, mais pas montée tout simplement.

Pour cela, tu dois utiliser la commande "mount" pour le faire.
Par exemple : Ou aller dans le "poste de travail" dans la partie graphique pour aller monter ta clé USB,
mais il est fort probable qu'en utilisant l'interface graphique,
tu ne sois pas obligé de monter manuellement ta clé USB et donc nous posé la question.

Bonne soirée,

J'ai bien essayé de passer par l'interface graphique, mais la clé ne s'affiche pas, je joins la photo de l'écran que j'ai.
Quand je monte la clé manuellement, elle se monte bien mais je sais toujours pas accéder à la clé USB...