Oui, mais le problème c'est que rien n'est assuré au démarrage ou alors il faudrait ajouter de l'électronique et un peu de logiciel. Ce ne serait même pas compliqué à faire un séquenceur du style:Bud Spencer a écrit :J'avais aussi fait lecture de cette parti de la datasheet et c'est bien pour ca que précisait bien la réserve de la configuration impérative en pull-down et que je rappelais l'intérêt du diviseur
Petite info supplémentaire a qui n'en veut : Le seuil de basculement 'sur' low/hight que j'ai observé est de >= 1.31v et le hight/low <= 1.29. Entre les deux, ca fait un peu sapin de noël
:
-) je démarre le pi.
-) je force le GPIO
-) j'alimente les capteurs à travers un port du GPIO+ MosFET
et séquence inverse à l'arrêt. Mais est-ce justifié pour économiser 4 résistances ?
Pour les niveaux, tu as raison de le souligner, comme je l'ai déjà fait:
Il faut toutefois préciser que cette mesure, aussi précise soit-elle, ne s'applique qu'à ton Raspberry et, peut-être, à ses frères équipés d'un SOC issus du même lot.spourre a écrit : 2) logique: pas de résistance talon vers le - donc on peut être dans la zone indéterminée de la logique CMOS (0 = moins de 1/3 de VDD et 1 = plus de 2/3 de Vdd).
...
Autant s'en tenir au pont diviseur avec les 2 résistances. C'est moins dangereux.
Bon je crois qu'un large consensus se dégage pour le pont diviseur. Maintenant, pour aller plus loin, il nous faut la réponse de Pinhapple sur ses signaux "différentiels". Je me demande s'il n'a pas voulu plutôt parler de signaux en quadrature, comme ceux d'un encodeur rotatif. Ça collerait bien avec son projet.
Sylvain