Du bon et du moins bon:
1) Donc la carte est dans son état d'origine, interfacée en I2C et pouvant même s'alimenter en 5 V et en 3.3V (au prix d'une légère perte de luminosité (cf. description en allemand sur le site que vous avez indiqué).
2) en suivant votre lien pour le driver (qui conduit chez Adafruit), je tombe sur un tableau de compatibilité
QUI NE MENTIONNE PAS LE RASPBERRY.
Pour moi, il faut donc oublier ce "pilote" . Si un autre participant pouvait confirmer mon interprétation, ça serait bien.
3) Heureusement, le Raspberry supporte l'I2C. Voici un lien, en français, qui donne pas mal d'explications:
http://innovelectronique.fr/2013/03/02/ ... spberrypi/
4) Vous pourrez donc utiliser cette carte mais, il va falloir étudier la documentation du contrôleur pour connaître ses registres et les valeurs à envoyer car vous devrez tout gérer à la main. C'est toujours très instructif, même si ça pique un peu les yeux:
http://pdf1.alldatasheet.fr/datasheet-p ... 16K33.html
On se rend compte que ce circuit, comme souvent, est très largement sous-exploité. D'ailleurs Adafruit reconnaît (dans les readme du driver), ne pas avoir su exploiter la fonction clavier (ce contrôleur est capable de gérer aussi un clavier ce qui pourrait être utile pour votre projet).
5) Je suis surpris de l'adresse de retour donnée par l'interrogation du bus I2C. Toujours sur le lien de votre fournisseur (mais aussi chez Adafruit), cette carte possède 3 straps à souder, qui déterminent son adresse I2C. Il y a 8 adresses qui vont de 0x70 à 0x77:
Mit 3 Adress-Jumpern (Lötbrücken) lassen sich die Module auf 8 verschiedene Adressen von 0x70-0x77 setzen - so können bis zu 8 Module gleichzeitig betrieben werden.
Pouvez-vous vérifier l'activation du support de l'I2c, la présence du module (lsmod) et retester ?
Bon courage
Sylvain
PS (donc après la signature): Je ne connais pas votre niveau mais comme on est dans la section "Débutants", je vous rappelle qu'un circuit I2C possède 2 adresses, une pour la lecture, l'autre pour l'écriture (on peut considérer que l'adresse est codée sur les 8 bits, chaque esclave a alors deux adresses, l'adresse paire qui sert à lui envoyer des données, l'adresse impaire pour lui demander d'en envoyer).