
Mais cette histoire de différentiel me chagrine un peu, il faudrait que vous ayez plus d informations la dessus.
Modérateurs : Francois, smba38
Ce n'est pas une bétise. Electriquement parlant, avec 3 diodes silice en série la chute de tension serait suffisante, mais c’est aussi susceptible d’apporter des soucis à cause des temps de commutation, de recouvrement et de bruit avec des signaux rapide. En utilisant des diodes de commutation genre 1n4148, ça le ferait sans doute, mais ça fait un composant de plus sans pour autant être aussi parfait qu'un diviseur et ca enlève un des avantages non négligeable de ce dernier qui joue aussi un rôle de pulldown sur l'entrée. C’est notamment pour ces raisons que dans la pratique, on n’utilise jamais de diodes pour ce genre de cas.etpi7out a écrit :Au risque de dire une bêtise,
Si c'est unidirectionnel, peut on tenter la liaison avec des diodes en séries?
La tension seuil consommée par les diode, diminuerait la tension de sortie.
Forcement. Pas de courant sans différence de potentiel donc si pas de courant, pas de chute de tension. Dans le cas présent la chute de tension serait effective sans ajouter des résistance qui va à la masse puisque électriquement parlant, l'entrée se comporte déjà comme une résistance reliée au négatif (évidement, comme pour le pont, sous réserve de masse commune). Dans l'absolu, on pourrait même se passer de pont diviseur et mettre simplement une résistance de valeurs bien plus importante en série entre la sortie arduino et l'entré du pi, mais pour ca il faudrait connaître précisément l'impédance des entrées.guillaume9344 a écrit :De plus pour que les diodes est une tension a leurs bornes il faut qu'elles soient polarisée, donc avec une résistance vers l alim ou la masse, du ce revien a faire un pont diviseur.
hum, sûr ?Pinhapple a écrit :deux signaux différentiels
marco123 a écrit :hum, sûr ?Pinhapple a écrit :deux signaux différentiels
sinon, :
diviseur.jpg
Oui , mais l'impédance des entrées du pi ayant une trés fortes valeur, le courant est trés trés faible , dans ces conditions la tensions des diodes n'est plus de 0.6 mais beaucoup plus faible.Bud Spencer a écrit : Dans le cas présent la chute de tension serait effective sans ajouter des résistance qui va à la masse puisque électriquement parlant, l'entrée se comporte déjà comme une résistance reliée au négatif (évidement, comme pour le pont, sous réserve de masse commune). Dans l'absolu, on pourrait même se passer de pont diviseur et mettre simplement une résistance de valeurs bien plus importante en série entre la sortie arduino et l'entré du pi, mais pour ca il faudrait connaître précisément l'impédance des entrées.
Combien ?. Et il faut aussi prendre en compte la résistance coté 'sortie'guillaume9344 a écrit :Oui , mais l'impédance des entrées du pi ayant une trés fortes valeur, le courant est trés trés faible , dans ces conditions la tensions des diodes n'est plus de 0.6 mais beaucoup plus faible.
Comme Spourre le stipule , le montage en pond divisseur reste le plus simple , le plus sécurisant , et celui pour lequel on connait le domaine de fonctionnement.
ce montage n'est ni plus ni moins qu'un pont diviseur !spourre a écrit :marco123 a écrit :hum, sûr ?Pinhapple a écrit :deux signaux différentiels
sinon, :
diviseur.jpg
je déconseille formellement ce montage qui présente 2 dangers:
1) mortel: pas de résistance talon vers le + donc on peut mettre plus de 3.3 V sure le GPIO et le détruire.
2) logique: pas de résistance talon vers le - donc on peut être dans la zone indéterminée de la logique CMOS (0 = moins de 1/3 de VDD et 1 = plus de 2/3 de Vdd).
Autant s'en tenir au pont diviseur avec les 2 résistances. C'est moins dangereux.
Sylvain
Le vernis a ongle de madame, ca va très bien pour ca. Faut juste pas se faire pincermarco123 a écrit :on colle la petite vis avec une résine spéciale comme dans des montages étalons !..